Diplômée de l’école de Shiatsu traditionnel et de l’institut Ohashiatsu, titulaire d’un diplôme d’instructeur, Nathalie Jean Gaggero a créé la 1ère école d’Ohashiatsu d’Amérique du Sud et des Antilles-Guyane. Ce projet a vu le jour grâce à une collaboration avec des professionnels reconnus – Jean-Marc Weill, instructeur diplômé en Ohashiatsu et en Sophrologie, Maître Ohashi et le docteur Patrick-André Chene. L’association Le toucher zen Guyane permet, elle, de regrouper des professionnels de la médecine douce, afin de structurer un milieu en plein essor.


Deux méthodes, une même philosophieSi le shiatsu et la sophrologie reposent sur des approches différentes, ces pratiques partagent une même philosophie que l’association. Le toucher zen Guyane s’est donnée pour objectif de transmettre. Là où le shiatsu favorise « le bien-être par le toucher », la sophrologie agit sur « le bien-être par le mental. »Reconnues par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ces techniques, au-delà de leurs effets thérapeutiques, représentent, selon Nathalie Jean Gaggero, « un véritable art de vivre. »

Le bien-être sur le lieu de travail

« De plus en plus d’entreprises et de centres médicaux, dans le cadre de la gestion du stress sur le lieu de travail, font appel à nos interventions ou font former leurs propres salariés à ces pratiques. »

Avec déjà quatre élèves diplômés de l’école en 2013, il semblerait que la méthode fasse ses preuves…

En effet, les avantages seraient nombreux selon la formatrice : taux d’absentéisme moins élevé, meilleure ambiance sur le lieu de travail, dynamisme et cohésion d’équipe, etc.

Si la vie en entreprise est généralement guidée par la recherche de compétitivité, par les échanges toujours inten-ses et plus rapides, le shiatsu et la sophrologie interviennent comme des méthodes naturellement douces.

De cette réalité est née l’association de Nathalie Jean Gaggero dont l’objectif est d’apprendre aux personnes qui le souhaitent à gérer leurs émotions, quel que soit leur environnement.

La transmission de ces méthodes fait, selon la formatrice, partie intégrante de l’esprit du shiatsu tel qu’il lui a été enseigné par les maîtres formateurs.

Par ailleurs, ces pratiques, loin d’être réservées à une élite, s’adressent à tous ; chacun pouvant trouver en lui les capacités de dispenser le bien-être, après avoir suivi un enseignement adapté et progressif.